En 2004, André Kangni Afanou embrasse l’univers des droits de l’Homme. Dès lors, il en est devenu un fervent défenseur. Depuis 17 ans, ce juriste togolais vient en aide aux hommes et femmes dont les droits sont bafoués. Intrusion dans l’univers d’un Togolais engagé, porte-voix de ceux qui sont dans l’ombre !
Président du Centre de documentation et de formation sur les droits de l’homme (CDFDH) et Coordonnateur du Bureau Afrique du Centre pour les droits Civils et Politiques (CCPR-Centre), une ONG basée en Suisse, André Kangni Afanou a reçu de nombreuses distinctions. Parmi elles, on retrouve le prix “Ten standing young people” dans la catégorie « Affaires politiques, juridiques et/ou gouvernementales » décerné par la Jeune Chambre Internationale en 2013 et le prix du « Meilleur acteur de lutte contre la corruption et l’impunité », lors de la Nuit du Civisme en 2014.
André Kangni Afanou, né en juillet 1975 à Anfoin, un village de la préfecture des Lacs, dans le Sud-Est du Togo, est d’origine togolaise. Pour saisir pleinement son charisme et son engagement en faveur des droits de l’Homme et de la bonne gouvernance, il faut le rencontrer, échanger avec lui et l’écouter partager son combat. Il souligne volontiers ses modestes origines familiales et détient une Maîtrise en droits des affaires ainsi qu’un diplôme d’Études Approfondies (DEA) en Droit et politiques de l’environnement, décernés par l’Université de Lomé.