À Abu-Dhabi où il prenait part à un forum des leaders mondiaux de la santé, Anthony Onyemaechi Elumelu, le président de la Fondation Tony Elumelu, a plaidé pour l’adoption de l’Africapitalisme.
Présent à Abu-Dhabi le 13 mai 2024, dans le cadre du forum des leaders mondiaux de la santé, le dirigeant et philanthrope nigérian, Anthony Onyemaechi Elumelu, a plaidé pour l’adoption de l’Africapitalisme, une voie du développement durable et de l’autonomisation économique.
Dans sa communication, le président de la Fondation Tony Elumelu a souligné que l’Afrique débordant de potentiel, d’innovation et de promesses se trouve à la croisée des chemins. Il a expliqué sa philosophie de l’Africapitalisme, le président de UBA group a déclaré qu’elle est une démarche audacieuse et visionnaire de l’autonomisation économique, fondée sur la conviction que le secteur privé a un rôle central à jouer dans l’avancement de l’agenda de développement de l’Afrique.
« Je suis profondément engagée dans l’exploitation du pouvoir des partenariats stratégiques, des solutions innovantes et des politiques inclusives pour stimuler le développement durable à travers le continent. Nous nous efforçons de libérer le vaste potentiel de l’Afrique et de donner à ses habitants les moyens de s’épanouir et de prospérer », a indiqué Anthony Onyemaechi Elumelu.
Pour le président de la fondation Tony Elumelu, il est important que l’Afrique trace une voie vers le développement durable, la croissance inclusive et la prospérité partagée. « Alors que nous sommes confrontés aux défis de l’insécurité alimentaire et de la faim, l’esprit d’entreprise apparaît comme un outil puissant pour l’innovation, la résilience et les pratiques agricoles durables. Grâce à des initiatives telles que la Fondation Tony Elumelu (TEF), nous restons déterminés à donner aux entrepreneurs africains les moyens de stimuler l’innovation agricole, de créer des emplois et d’améliorer la sécurité alimentaire sur tout le continent », a-t-il déclaré.
Selon le concepteur de la philosophie de l’Africapitalisme, en investissant dans l’autonomisation économique des jeunes africains à travers l’entrepreneuriat, le développement des compétences et l’accès au financement, il sera possible de libérer leur potentiel en tant qu’agents de changement, relever les défis de la migration et créer des opportunités d’emploi significatives.