La fondation Visa tend la main aux femmes entrepreneures en Afrique subsaharienne. L’organisme a exprimé à travers un communiqué sa volonté de contribuer à l’épanouissement des femmes entrepreneures de cette partie de l’Afrique.
L’entrepreneuriat est une véritable source de développement en Afrique. Dans ce continent où les ressources et les secteurs d’activités ont encore des espaces à exploiter, l’entrepreneuriat est une nouvelle porte d’indépendance qu’empruntent toutes les populations sans distinction de genre.
Pour contribuer à l’émergence des femmes entrepreneures en Afrique subsaharienne, qui sont toujours en quête d’autonomisation et d’équité, malgré leur minorité, la fondation Visa leur apporte son aide à travers une subvention de 5 millions de dollars américains.
À travers cette subvention, la fondation Visa veut contribuer au développement des activités des femmes entrepreneures en Afrique subsaharienne. Ce soutien leur permettra d’avoir facilement accès au financement numérique et équitable et à surpasser les disparités entre les sexes.
« L’élargissement de l’accès aux services financiers numériques est au cœur de l’objectif de Visa, et notre société et la Fondation Visa s’engagent à contribuer à la lutte contre les disparités entre les sexes et à connecter davantage de personnes à l’économie mondiale », a déclaré Aida Diarra, première Vice-présidente et responsable de l’Afrique subsaharienne chez Visa.
L’autre aspect que vise la fondation à travers ce don est de faciliter plus la connexion de la population africaine, à l’économie mondiale. « Nous sommes heureux de soutenir d’importantes initiatives mondiales, telles que le Fonds pour les femmes dans l’économie numérique, et nous nous réjouissons de travailler avec les Gouvernements, les ONG et les partenaires du secteur privé pour créer un accès équitable pour tous », a ajouté Aida Diarra.
Ainsi, la Fondation Visa apporte une solution à la situation financière numérique qu’existent entre les genres en Afrique. Actuellement, plus de 500 millions de personnes en Afrique n’ont pas accès aux services financiers formels et plus de 40 millions de commerçants n’acceptent pas les paiements numériques. Seulement 50% de la population adulte reçoit ou effectue des paiements numériques.