Patrick Buabé a su conquérir l’univers de la mode au Togo. Styliste et créateur de mode, le Directeur de la maison de mode Pat fashion fait sensation à la sortie de chaque collection. Il fascine les amoureux du beau et du glamour à la présentation de chacune de ses créations.
Patrick Buabé est un jeune styliste et créateur de mode togolais. Directeur de Pat fashion, une maison de stylisme basée à Lomé, le jeune créateur de mode se démarque de la panoplie de stylistes togolais par un travail remarquable et appliqué. Véritable cas d’école, Patrick Buabé force l’admiration par son succès, son parcours personnel, sa pugnacité et sa sincérité.
L’actuel patron de Pat fashion commence à développer son talent très tôt à travers les dessins et par son intérêt pour les défilés de mode. « Cette passion pour la mode est née en moi alors que j’étais très jeune et mes parents (ndlr : ma maman surtout) ont su le reconnaitre à travers mes dessins et mon intérêt pour les défilés de mode », confie Patrick. « Mais pour eux, il fallait d’abord que je poursuive mes études », ajoute-t-il.
C’est donc après l’obtention d’une licence en sociologie humaine en 2017, qu’il décide de se consacrer entièrement à sa passion. Il se lance alors avec le soutien de sa mère. Le talent bien qu’étant inné en lui, Patrick Buabé décide de se faire former et s’inscrit dans une école de stylisme de la capitale togolaise. Après sa formation, il se spécialise dans la confection des tenues cérémoniales : robes de mariées, robes de soirées… Patrick Buabé ose dans ses coupes et les adapte à toutes les morphologies.
Amoureux du style, le jeune créateur togolais s’inspire des tendances sans les copier et a su se faire une place dans le monde de la mode au Togo. À travers ses créations, on peut lire plusieurs émotions positives : « Je transmets, le beau, la gaieté. Je m’accentue sur les dessins, les motifs, les imprimés et bien évidemment, je mets la femme à l’honneur », déclare Patrick avec passion. En 5 ans de carrière, ce jeune talent comptabilise une vingtaine de… [Pour lire l’intégralité de cet article, rendez-vous à la page 29 du magazine Ocean’s News N°20].