Dans une interview accordée à nos confrères de l’Agence Ecofin, le docteur et chercheur béninois Jérôme Fagla Medegan a déclaré détenir le remède pour lutter efficacement contre le coronavirus. La solution, une molécule conçue par ses soins, permet non seulement de lutter contre le coronavirus mais aussi de prévenir contre son infection.
Le docteur Jérôme Fagla Medegan, un imminent docteur et chercheur béninois, a déclaré pouvoir lutter contre le coronavirus avec une molécule qu’il a mis au point. La molécule aurait déjà fait ses preuves dans la lutte contre le VIH/Sida.
« Cette molécule peut être adapté pour la pandémie actuelle »
Selon les explications du chercheur, tous les virus sont dépendants du corps de leur hôte pour exister. Ils sont donc obligés de se servir des cellules de la personne infectée pour leur reproduction. Pour empêcher cet anéantissement du système immunitaire, le docteur Jérôme Fagla Medegan a mis au point une molécule qui permet au corps infecté de faire face à la maladie de manière efficace.
« Le principe fondateur de ma méthode est le suivant. Tous les virus ont cela de commun, qu’ils ont besoin pour exister de la machinerie de leur hôte. Pour exister, le virus est obligé de parasiter les cellules du corps malade pour se reproduire. Il faut rappeler que dans le cadre de mes travaux, j’avais mis au point une molécule permettant au système immunitaire de sortir de sa sidération face au VIH pour combattre la maladie. Cette molécule peut être adaptée pour la pandémie actuelle. »
Dans la suite de son propos, le docteur Jérôme Fagla Medegan a soutenu que le coronavirus ne pourrait pas se reproduire s’il venait à pénétrer dans un corps traité avec sa molécule. « Si le coronavirus entre dans un corps, traité avec ma méthode, à la recherche de moyens de se reproduire et qu’il fait face à une résistance totale du système immunitaire, il ne peut pas y avoir de maladie. C’est aussi vrai pour tous les virus et autres cancers que ça l’est pour le coronavirus », assure le Dr Medegan.
Jérôme Fagla Medegan salue la décision du gouvernement béninois de confiner la population. Mais il souligne qu’en cas d’infection massive pendant le confinement dans un quartier, l’État aura du mal à mettre en quarantaine toutes les personnes atteintes. Il propose à cet effet d’utiliser des extraits de plantes pour dompter ce genre de cas.
« Je suis d’accord avec le gouvernement béninois pour le confinement. Si en plein confinement, on trouve un cas dans un quartier et que le malade a été confiné avec sa famille ou avec de nombreuses personnes, on devra mettre en quarantaine toutes les personnes concernées. Seulement si on en arrive au niveau où il y a trop de contaminés pour que les personnes touchées soient contrôlées, que pourrons-nous faire ? Ce que je propose, c’est que nous utilisions des extraits de plantes, qui viennent de mes recherches sur le riche patrimoine de notre médecine traditionnelle ancestrale », émet-il.
L’efficacité du médicament à base de plantes mis en place par le docteur Jérôme Fagla Medegan n’est pas seulement utile pour combattre le coronavirus. Il peut aussi le prévenir selon lui. Il explique l’efficacité des plantes utilisées pour mettre au point le médicament en ces termes :
« Ces plantes nous ont permis de vaincre la variole, la drépanocytose et tout récemment le virus du Sida. Elles peuvent vaincre n’importe quelle maladie virale simplement parce que, pour tuer, les virus ont besoin de se reproduire dans les cellules. Si on l’empêche de rentrer, le virus devient inoffensif. Nos extraits de plantes peuvent renforcer le système immunitaire au point de lui permettre de faire barrière au coronavirus », soutient-il.
Le docteur exhorte également les autorités béninoises à donner son médicament aux familles de potentielles nouvelles personnes infectées à titre préventif. Et aussi d’en prendre elles-mêmes avant de se rendre dans le centre de traitement. « Ce que je demande, c’est que lorsqu’un cas est détecté, même simplement de manière préventive, qu’on donne mon médicament à sa famille. Ils n’attraperont pas la maladie. Les ministres qui sont obligés de se rendre dans le centre de traitement et les autorités peuvent également y avoir recours pour redonner confiance aux malades sans risque d’être contaminés », défend-il fermement.
« Le médicament peut même être adapté aux cancers »
Le docteur Jérôme Fagla Medegan n’a pas créé uniquement un médicament contre les virus. Son traitement est également efficace contre d’autres maladies plus graves comme les cancers.
« Le médicament peut même être adapté aux cancers. Les cellules cancéreuses qui se multiplient de manière anarchique sont comme les virus. Le système immunitaire est préparé à bloquer toute reproduction anarchique de cellule », explique-t-il. Il soutient être prêt à faire tous les tests auxquels on voudrait soumettre [ses] médicaments. « Je veux être jugé sur mes résultats », poursuit-il.
« A un moment de la maladie, ce n’est plus le virus le problème. »
Le chercheur explique par ailleurs que sa méthode ne part pas avec un seul produit. « Il faut y adjoindre un autre médicament à base de plantes qui nettoie la sphère pulmonaire. Et c’est d’ailleurs pour ça que je suis confiant que ma méthode marchera même pour les personnes déjà malades », renseigne-t-il. Il soutient que le problème avec le coronavirus sur le long terme, ce n’est plus une question de virus mais une question de respiration.
« A un moment de la maladie, ce n’est plus le virus le problème, mais plutôt la détresse respiratoire qu’il cause. Mon second médicament nettoie la sphère pulmonaire et facilite à nouveau la respiration pendant que le premier règle le problème viral en dopant le système immunitaire », nous apprend-il.
« Je suis prêt à ce que mon pays me juge sur mes résultats »
Jérôme Fagla Medegan est si sûr de son médicament qu’il se dit prêt à être jugé sur la base de ses résultats. « Je suis prêt à ce que mon pays me juge sur mes résultats. Je n’ai rien à y gagner, je suis vieux, je ne cours pas après la gloire et je ne risquerais pas de jeter l’opprobre sur le patronyme de mes enfants si je n’étais pas absolument sûr de ce que je propose », martèle-t-il.
« L’Afrique toute entière peut apporter une réponse propre à elle »
Il a fini l’entrevue par un poignant message à l’endroit des autorités béninoises.
« J’espère que les autorités de mon pays entendront mon appel et si d’autres jugent que ce que je propose mérite d’être testé, qu’ils nous contactent. De toutes les manières, nous n’avons pas les moyens des grandes puissances européennes. Nous ne pouvons pas faire sortir des hôpitaux de terre, capables d’accueillir des milliers de personnes. Ce sont leurs réponses. Nous n’avons pas leurs moyens, alors nous ne perdons rien à utiliser ceux à notre disposition, les plantes dont se servaient nos ancêtres pour soigner. Le Bénin, non pas seulement, mais l’Afrique toute entière peut apporter une réponse propre à elle dans la lutte contre le virus et elle réside dans la phytothérapie, en plus des mesures gouvernementales. »
En rappel, le Bénin a enregistré au total six (06) cas de coronavirus dont un en provenance du Togo. En effet, un ressortissant béninois ayant contracté la maladie a demandé à être rapatrié au Bénin.
Source : agence ecofin
Bonjour.
Article très intéressant peut on en savoir plus sur le traitement ? Comment peut on entrer en contact avec le Dr ? Y a t’il aujourd’hui des patients qui peuvent tester le traitement ?
Cordialement
Cécile
Pour entrer avec le Dr il vous faudra passer par ses comptes sociaux. Selon nos informations, le traitement n’a pas encore été testé sur un patient. Cordialement, La Rédaction.